La vengeance

_ S’il vous plait, besoin de soin. J’en peux plus.

Soupira Mouge qui revenait épuisé du front. Il s’allongea dans l’herbe à coté de ses frères d’armes et s’assoupi. A son réveil, il était dans un lit. Il ouvrit les yeux doucement et se rendit vite compte qu’il venait d’être cloné. Dés que Seïfer, qui était toujours à ce fameux campement, se mis directement à la recherche de ceux qui avaient osé cet affront.

Au bout du premier jour les recherches étaient toujours vaines. Il décida de se reposer et de reporter celle-ci au lendemain. A la lueur du jour, Seïfer pris son arme et partit à la recherche du fourbe. Alors qu’il marchait tranquillement dans la plaine il aperçut tout à coup une veste blanche. Il sortit ses jumelles. Ils étaient aux nombres de deux. Seïfer sortit son com-link est adressa un message à son colonel et à son pote de toujours -D3ib!dO-. Seifer donna le premier coup sur le soldat qui s’était révélé être un mercenaire, mais malgré que les deux soldats croyaient en la même chose, Seïfer n’eut aucune pitié. A l’arrivée de -D3ib!dO-, le mercenaire rush tomba sous les coups.

Il avait eu la mauvaise idée de s’attaquer à un .DC.
Jamais un soldat ne résistera à la colère des mercenaires de la compagnie noire.

"Hey Deibido, Reveille toi putain ! sa fait 10 Plombe que tu roupille ..."
"Hein..quoi... !!"

Le calme regnais sur le Campement, eloigné du front, Ou la compagnie noire sejournait quelque temp,
avant de reprendre les operation, Keikoru avait veiller toute la Nuit, et surveillait deibido epuisé par son combat de la veille contre un soldat Lunaire.

"Ah sa fait tu bien, sa fait longtemp que je me suis pas senti autant en forme !"
"Ouai ben parle pour toi..."

Deibido se leva peniblement et observa L'horizon, a la recherche de Pam.

"Keiko ? ta vu Pam ??"
"Tu la vera plus tard ! Mouge vien de se faire cloner."
"Quoi ??"
"Et ouais, et seïfer a reperer le type, il est un peu au sud, Tao et Monarch Son avec Lui"

Deibido s'assaya, son sourire habituelle s'effaca et laissa place a un vigage triste, sombre
cela ne faisait que quelque jour qu'il etait retourner au front, et sa vie paisible lui
manquait, il regratait ces journées passée avec Pam, qui aurait dû durer eternellement. Il se
releva et dit :

"Vien Keiko, On va le buter..."

Ces yeux avait changer, son expression aussi...
Keikoru laissa echaper un leger sourire sur sont visage glacial

"Ouai, on y va" ...

*Une tete était déja tombée, sous les assauts determinés et efficaces de Keikoru. Une bien bonne chose...*

L'heure était maintenant au jeu. Un jeu des plus captivants.

Le principe est simple. Les soldats entourent leur cible...préparent leurs armes, visent bien... Et les coups sont lachés sans ordre précis, d'une façon telle qu'il est impossible de savoir qui achevera la bete...

La Compagnie raffolait de ces petits amusements, et aux premieres lueurs de la Lune, le Colonel et le Vice-Colonel étaient d'humeur taquine. Les freres d'armes se connaissaient, n'avaient pas besoin de discuter : ils ne seraient pas reperés.
La victime désignée, certes par défaut, par les deux soldats experimentés : un étrange mercenaire portant l'uniforme blanc, et bien eloigné de ses compatriotes...
Un homme lui ressemblant beaucoup avait dailleurs déja croisé la Compagnie toute a l'heure...

*Le jeu, le jeu, le jeu. *

Entre les deux amis, souriants, l'accord tacite d'un croisement de regard déclencha une guerriere complicité telle que dans le sang étonné se croisaient balles et faisceaux lasers à un rythme inavouable...
Une brutalité caracteristique ?

*Un jeu, un jeu, un jeu.*

Leur amusement était venu à bout de l'ennemi, ou presque.

*Le malheureux ne tiendrait pas lo... Le malheureux est mort ?*

L'opportunisme avait maintenant un nouveau nom : affaire à suivre.

Ce soir là, kirua fumait son habituelle cigarette aux coté de kaoru qui, lui était plus occupé à essuyer le sang dont son arme était recouverte - il avait en effet été jusqu'à lacérer son ennemi à coups de crosse voulant a tout prix l'achever - .
Cinq silhouettes se dessinèrent alors dans l'obscurité, il ne faisait nulle doute qu'ils étaient là pour le duo. kirua en reconnu un, puis deux, puis tous, son visage devint blème, il s'agissait de la race la plus méprisable qui soit: les animateurs se tenaient maintenant en face de lui.
Le plus avancé des visiteurs prit la parole:

"Hé, les mecs, ca vous dirait des vacances?"

kirua eu a peine le temps d'étouffer une protestation que les deux compagnon étaient deja faits prisonnier.
Le cortège s'éloigna alors lentement, loin des lumières du QG, les agresseurs avaient pris soin de laisser un mot que les hommes du colonels pourraient retrouver le lendemain matin:

Kirua/Kaoru : Deux semaines de vacances forcées.